La Baume : La Bôma (patois), les baumis (Lou Bômi) surnommés comme à Urine "les Renards"
Le Chef Lieu |
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Les Creux |
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Les Esserts : Terrain défriché, essarté, c’est à dire où les souches ont été arrachées à la houe, et qui a été mis en culture. Surnommés "les Chats" A proximité des Esserts le toponyme Les Allamans pose question. On peut sans doute le rattacher à l’arrivée de groupe d’éleveurs, appelés Walsers, venus du Val de Conches (Haut-Valais), qui colonisent alors de nombreux lieux clans l’arc alpin a partir du XII siècle, vraisemblablement en raison du surpeuplement de leur région d’origine. Ces paysans appartiennent au tronc des Allamans chassé s de l’Oberland bernois. Ayant •développé une culture paysanne de montagne, leur installation s’est réalisée avec l’accord et la protection des seigneurs locaux, dont l’abbaye d’Aulps, qui leur confient également la garde de certains passages stratégiques |
La Dimerie : Résidence où était perçue et conserver la dîme ou territoire sur lequel la dîme était prélevée. C’étais une des 13 dîmeries de l’abbaye d’Aulps. |
Les Vorziers : Saule, aubier, saule marsault et lieu où poussent ces plantes, du gaulois vorze |
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Le Promerat : Où se dresse une très jolie chapelle. Le terme découle du prunier, plantations de pruniers. |
Les Geydet : Patronyme, peut être de gistum "gite", pâturage de montagne où le bétail s’étend pour se reposer et les habitations qui s’y trouvent. |
Couvaloup : Déformation du latin cum vallem, "dans un vallon". |
Urine : Variante d’Augine, terme dérivé de Auge avec le suffixe diminutif qui désigne un canal, un bief aménagé pour amener de l’eau à un artifice. |
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La Goutreuse : Nom donné à des pâturages formant une éminence plus ou moins arrondie par métaphore du patois gotraou, gointreux. |
La Voagère : Terre ou propriété mise en gage |
Seytrouset vient du patois seitrou, "faucheur" avec le diminutif -et-
La Chette du patois chetta, « assemblée nocturne des sorcières »
le Cocouey, Lieu, en général une forêt, où l´on entend des coucous (Cuculus canorus), ou bien lieu où croissent des plantes comme la primevères officinales (Primavera officinalis)
Pointe d’’Ireuse (1875m) - peut-être de l´adjectif féminin vieux français ireuse, « colérique », soit à cause des colères de cette montagne, soit par un sobriquet.
Sur le Char : du gaulois calmis, pâturage en montagne au-dessus de la limite des forêts, sommet engazonné, souvent d’accès difficile et de végétation maigre
Nicodex : Hameau renommé pour ses fours à pain dans lesquels les vanniers faisaient sécher les branches de noisetiers qui permettaient de fabriques les hottes de La Baume. Du patronyme Nicod, Nicoud, issu du prénom latin Nicodemus, Nicodème, du grec nikedemos, Victoire du peuple. Les Nicodélains sont surnommés "les Poulets" |
Sur le Plan : replat d’altitude avec espace habité et cultivé.
Les Fayets : Nom dérivé du hêtres, latin fagus, patois fayard |